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Un roman 📕🧙🏿‍♀️ pour financer nos projets : Sortie du Lion Noir: Les Sorcières de Stambruges.

Dernière mise à jour : 17 nov. 2021


Que se passerait-il si un garçon du style d’Harry Potter, débarqué du Sénégal et pétri des croyances des marabouts africains, explorait la forêt de Stambruges, ses sorcières et ses légendes? C’est un peu ce qu’a imaginé Lionel Croes dans une nouvelle saga, Le Lion Noir. Une fiction d’heroic fantasy écrite pendant le confinement.

Nous y sommes presque, le premier tome de notre saga "Le Lion Noir" sortira début 2022, le premier volet est actuellement en cours de correction par Jennifer Wepierre. Les bénéfices de sa vente, via l'association, seront reversées à la construction d'un centre culturel au Sénégal.


Vu du ciel, le bois de Stambruges prend la forme d’une sorcière... et ce n’est pas un hasard ! C’est ce qu’explique Lionel Croes, dans le premier tome de sa saga fantastique «Le Lion Noir». «J’avais ce projet d’écriture dans la tête depuis longtemps et j’ai profité du confinement pour enfin m’y mettre», précise le jeune réalisateur qui vit la moitié de l’année au Sénégal, au sein d’une famille de pêcheurs qui l’a adopté. Plusieurs mois par an, il revient toutefois sur sa terre natale à laquelle il voue une passion tout aussi forte. « J’avais envie d’évoquer toutes les légendes qui animent le village de Stambruges, notamment en hommage à mon grand-père qui fait partie des sorcières. Cette culture héritée de la tradition païenne me fascine », avoue-t-il.



Tous les lecteurs qui achèteront le roman via l'association contribueront à notre projet de construction d'un centre culturel au Sénégal. Ce dernier pourra accueillir différentes réalisation: film, projet, échange, présentation, projection, danse, exposition, formation, etc...




Vous pouvez découvrir ci-dessus notre couverture en avant-première. Jennifer Wepierre s'est démenée pour trouver Chloé Meyer, une graphiste talentueuse avec laquelle nous avons oeuvré durant plusieurs semaines pour créer cette fabuleuse illustration, si riche en détails. Nous sommes particulièrement fier du clin d'oeil à la chapelle de Notre-Dame de l'Arbre au Puits en arrière plan et j'espère que vous l'apprécierez autant que notre équipe.


Plus que jamais, nous avons besoin de votre présence bienveillante à nos côtés pour rester positifs, sereins et motivés.

Le premier tome du Lion Noir vous parviendra très bientôt.



Pour participer à ce projet :


Nous avons choisi de numéroter 200 livres. (Numérotation à la main dédicacée)

Vous voulez nous aider à la construction d'un centre culturel et faire partie de ce projet d'édition ?

C'est possible via cette page ou via PayPal.

Vous recevrez un exemplaire en début d'année et votre nom sera dans notre roman.



Solidarité Belgique Sénégal

IBAN BE42 7320 3115 6754

BIC CREGBEBB



Communication DON: Lion Noir Roman






Résumé:


Entrez en Wallonie, et pénétrez dans Stambruges, l’un de ses petits villages mystérieux. Découvrez sa forêt enchantée, et la légende de son arbre guérisseur, qui absorba durant des siècles toutes les souffrances qui lui étaient présentées. L’arbre fut abattu, arraché à la vie par des hommes cruels, mais son énergie lui survécut et les sept éléments qui la composaient furent offerts aux grandes familles d’autrefois pour être placés sous le contrôle de puissantes sorcières, dignes représentantes de chaque clan. À la recherche du pouvoir ultime, Balta le Maléfique voulut les leur reprendre, car, une fois réunis, les sept éléments lui permettraient de voyager dans le temps. Afin de l’en empêcher, les sorcières s’exilèrent dans des mondes parallèles.

Lorsque l’élu du Lion Noir se présentera, toutes reviendront, et les forces obscures seront là, prêtes à reprendre le combat.



Extraits:

Dans son vestibule, Juliana se préparait pour sa balade hebdomadaire au cœur de la forêt de Stambruges, célèbre pour ses traditions, ses légendes et ses mystères. Il n’était pas encore dix heures ce dimanche-là, mais elle souhaitait profiter de la fraîcheur matinale que lui offrait encore le mois de juillet. La jeune femme observait dans le miroir son reflet élancé et sa taille fille, soulignée par une longue chevelure brune aux reflets cuivrés. Si Juliana avait hérité de l’assurance et des grands yeux noisette de sa mère, une ancienne beauté qui défilait autrefois sur les podiums, elle n’en demeurait pas moins indifférente aux regards admirateurs : cette éternelle célibataire préférait le calme de son logis aux passions tumultueuses. Alors qu’elle ajustait son foulard, ses yeux s’arrêtèrent sur sa collection de figurines, emblématiques de son village de Wallonie. Elle eut une pensée pour sa mère, dont elle tenait la passion pour les sorcières et le folklore local. Un sourire aux lèvres, elle referma doucement la porte derrière elle et s’éloigna d’un pas tranquille, portée par le doux murmure des carillons à vent suspendus aux poutres de sa maison.


........

La jeune femme traversa la rue pour rejoindre l’orée des bois. Ce serait sa dernière promenade avant son départ pour le Sénégal, où elle espérait se voir confier un enfant. La veille de ses trente-neuf ans, Juliana avait été bouleversée de recevoir une brochure sur l’adoption, alors qu’elle hésitait à entreprendre cette démarche. « Je souhaite devenir maman », avait-elle souhaité de toutes ses forces avant de souffler ses bougies. C’était son vœu le plus cher et elle s’était décidée à l’exaucer. À présent, elle était impatiente d’entamer ce long voyage en terre africaine, même si le doute l’envahissait parfois : elle s’inquiétait de ne pas être à la hauteur de son nouveau rôle de maman et craignait de ne pas savoir donner à cet enfant tout l’amour qu’il méritait. Absorbée par ses pensées, Juliana s’était naturellement dirigée vers l’arbre à loques. Le tronc de ce grand chêne accueillait par centaines des vêtements et des chaussures, des pansements et des bandages : toutes sortes d’objets en tissu porteurs d’un mal que l’arbre seul semblait capable de guérir. Personne ne connaissait l’origine de cette croyance, mais nombreux étaient les villageois à l’entretenir, si bien que Juliana s’était confectionné un bracelet protecteur à partir d’un morceau de son écorce. Songeuse, elle s’assit sur un banc, face à la petite chapelle proche de l’arbre. Ce lundi allait probablement changer à jamais le cours de sa vie, et cela l’apeurait, la réjouissait et l’excitait tout à la fois. Les yeux fermés pour mieux savourer la caresse du soleil, elle dessinait sous ses paupières les contours d’un visage juvénile.



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